Le célibat à 20 ans
Je suis célibataire.
A 20 ans, rien d'anormal me direz vous.
Je ne me contente pas de pleurer sur mon sort comme pourrait le penser certains. Je raconte juste ici mes impressions, mes doutes, mes moments de faiblesse et mes moments d'optimisme également. Je me motive, je me démotive.
Je vous raconte ce manque. Cette envie de serrer une femme dans mes bras. Cette envie d'aimer et d'être aimé. A 20 ans oui.
Mais ne vous y méprenez pas : je ne suis pas à la quête du grand amour. Pas encore. C'est trop tôt. Je suis conscient qu'il me faudra plusieurs tentatives avant de trouver ma perle.
Je ne désespère pas de la trouver : Je suis pessimiste, certes, mais je sais que je trouverais. Tout le monde trouve.
Seulement, l'expérience me manque. Les doutes m'handicapent. La timidité aussi.
J'ai l'impression de manquer d'opportunités. Et lorsque j'en ai, je me loupe complètement. Je ne sais pas draguer. Je ne sais pas me mettre en valeur.
Les expériences me manquent. Mes anciennes histoires n'ont pas durées. Manque d'amour. Elles auront eu le mérite de me rassurer un peu.
Et puis l'attente. L'envie de trouver une copine. Comme les mecs de 20 ans que je vois autour de moi. Parmi mes proches, les couples durent de plus en plus, c’est du sérieux. Cela fait déjà trop longtemps que j’attends une véritable histoire. Pourquoi eux y arrivent ils et pas moi ?
Trop sensible, trop émotif, trop romantique. Je tombe amoureux à chaque station de RER. J'ai sans cesse des regrets. Des peurs aussi. Peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas savoir quoi faire, quoi dire, quoi penser.
J'idéalise la femme. Elles me terrifient autant qu'elles m'attirent.
Les jolies filles me semblent inaccessibles. Pour moi il est évident qu'elles préfèrent la belle et grande gueule de service au mec pas sûr de lui. Tant pis pour moi.
Je crois connaître mes qualités, je suis certain de mes défauts.
Je ne m’aime pas mais parfois il m’arrive de l’oublier. Des élans de confiance qui me permettent de respirer mais qui retombent aussi vite qu’ils sont apparus. Je suis compliqué. Je suis destructuré. J'ai peur d'être différent.
Je me demande comment j’arriverais à intéresser une femme.
Je me demande si je vais attendre encore longtemps.
Je me demande si j’arriverais à être heureux tout en étant célibataire. Comme avant.
De toute façon, tout le monde trouve. Tout le monde.
A 20 ans, rien d'anormal me direz vous.
Je ne me contente pas de pleurer sur mon sort comme pourrait le penser certains. Je raconte juste ici mes impressions, mes doutes, mes moments de faiblesse et mes moments d'optimisme également. Je me motive, je me démotive.
Je vous raconte ce manque. Cette envie de serrer une femme dans mes bras. Cette envie d'aimer et d'être aimé. A 20 ans oui.
Mais ne vous y méprenez pas : je ne suis pas à la quête du grand amour. Pas encore. C'est trop tôt. Je suis conscient qu'il me faudra plusieurs tentatives avant de trouver ma perle.
Je ne désespère pas de la trouver : Je suis pessimiste, certes, mais je sais que je trouverais. Tout le monde trouve.
Seulement, l'expérience me manque. Les doutes m'handicapent. La timidité aussi.
J'ai l'impression de manquer d'opportunités. Et lorsque j'en ai, je me loupe complètement. Je ne sais pas draguer. Je ne sais pas me mettre en valeur.
Les expériences me manquent. Mes anciennes histoires n'ont pas durées. Manque d'amour. Elles auront eu le mérite de me rassurer un peu.
Et puis l'attente. L'envie de trouver une copine. Comme les mecs de 20 ans que je vois autour de moi. Parmi mes proches, les couples durent de plus en plus, c’est du sérieux. Cela fait déjà trop longtemps que j’attends une véritable histoire. Pourquoi eux y arrivent ils et pas moi ?
Trop sensible, trop émotif, trop romantique. Je tombe amoureux à chaque station de RER. J'ai sans cesse des regrets. Des peurs aussi. Peur de ne pas être à la hauteur, peur de ne pas savoir quoi faire, quoi dire, quoi penser.
J'idéalise la femme. Elles me terrifient autant qu'elles m'attirent.
Les jolies filles me semblent inaccessibles. Pour moi il est évident qu'elles préfèrent la belle et grande gueule de service au mec pas sûr de lui. Tant pis pour moi.
Je crois connaître mes qualités, je suis certain de mes défauts.
Je ne m’aime pas mais parfois il m’arrive de l’oublier. Des élans de confiance qui me permettent de respirer mais qui retombent aussi vite qu’ils sont apparus. Je suis compliqué. Je suis destructuré. J'ai peur d'être différent.
Je me demande comment j’arriverais à intéresser une femme.
Je me demande si je vais attendre encore longtemps.
Je me demande si j’arriverais à être heureux tout en étant célibataire. Comme avant.
De toute façon, tout le monde trouve. Tout le monde.